hélas, pauvre Yorick!


origine de hélas, pauvre Yorick!

Cette phrase se trouve dans Hamlet, une pièce populaire de William Shakespeare. Le personnage principal Hamlet dit cette phrase quand il est avec Horatio, parlant au fossoyeur. Il regarde autour des cadavres et trouve le crâne de Yorick, le Bouffon royal. Considérant le crâne, Hamlet parle comme si Yorick était vivant devant lui, prononçant ces mots à L’Acte V, Scène I: « hélas, pauvre Yorick! Je le connaissais, Horatio: un homme / de plaisanterie infinie, de la plus excellente Fantaisie.,”

Cette phrase nous dit que Hamlet est en contemplant la nature temporaire de la vie, comme il regarde crâne de Yorick. Cela montre également que, bien que Hamlet semble être devenu fou, en fait, il parle des phrases très significatives avec Yorick.

Signification de hélas, pauvre Yorick!

Hamlet fait ce discours dans le cimetière quand il tient le crâne de Yorick. Il est connu et l’un des plus complexes sur le discours d’œuvres dramatiques., Ici, Hamlet considère le destin humain en comparant le crâne de Yorick avec d’autres êtres humains vivants. C’est le reflet de la maturité et de la nouvelle vision d’Hamlet sur la vie et la mort humaines. Ainsi, cette phrase fait référence à la prise de conscience des êtres humains concernant l’inévitabilité du destin et de la mort, et que la mort est un phénomène naturel qui ne cesse jamais.

utilisation de hélas, pauvre Yorick!

Cette phrase peut être utilisée à plusieurs reprises. Les gens citent cette phrase lors des funérailles de leurs proches, pour dire l’importance du phénomène de la mort., De même, les parents peuvent guider leurs enfants et leur enseigner l’importance du temps au cours de leur vie en présentant des exemples de leurs proches qu’ils ont perdus et comment la mort finira par les approcher. Les personnalités religieuses peuvent également l’utiliser pour rendre hommage aux morts lors des services funéraires.

source littéraire de hélas, pauvre Yorick!

Hamlet utilise cette phrase dans L’Acte V, Scène I de la pièce Hamlet, lorsqu’il parle à Horatio de Yorick et de ses souvenirs d’enfance. Il dit:

« Hélas, pauvre Yorick!, Je le connaissais, Horatio: un homme
de plaisanterie infinie, de fantaisie très excellente: il m’a
porté sur son dos mille fois;

get maintenant, amenez-vous dans la chambre de ma dame, et dites-lui: laissez-la peindre un pouce d’épaisseur, à cette faveur, elle doit
venir; faites-la rire de cela. »

(Hamlet, Acte-V, Scène-I, lignes 160-172)

Hamlet dit à Horatio que le Bouffon a raconté de merveilleuses blagues et avait une grande imagination., Cette scène donne l’occasion au public de se pencher sur la vie passée de Hamlet, à quel point il était heureux avec son père et comment il appréciait la compagnie du bouffon quand la vie n’était pas aussi complexe qu’aujourd’hui. Il parle également au crâne comme si Yorick était vivant et lui demande où sont passés ses blagues, ses chansons et ses rires.

analyse littéraire de hélas, pauvre Yorick!

Cette phrase se produit dans la célèbre scène du fossoyeur, où Hamlet est trouvé en conversation avec le crâne du bouffon royal, Yorick., Dans la pièce, cela est considéré comme un soulagement comique après une atmosphère chargée, puis le fossoyeur commence également à parler à Hamlet. Regarder le crâne de Yorick ramène des souvenirs touchants à Hamlet, qui semblent horribles, rendant Hamlet triste et malade.

ces images ludiques et aimantes lui rappellent aussi les jours joyeux de leur enfance. En fait, Shakespeare a fortement abordé le thème de la mortalité dans ces lignes. Les fossoyeurs plaisantaient sur la tombe D’Ophélie. En creusant, ils discutent de la mort de la royauté., Le discours D’Hamlet, en revanche, affirme le sentiment que rien ne peut arrêter la mort, et c’est un grand égalisateur.

dispositifs littéraires

  • césure: la césure initiale ou la pause se produit avec le point d’exclamation, car il y a une double contrainte après que l’exclamation a été placée.
  • Ton: la phrase exprime un ton mélancolique.

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