Kitch-iti-kipi (Français)

Il existe plusieurs prétendues légendes amérindiennes concernant Kitch-iti-kipi. Cependant, certaines sources suggèrent qu’ils ont été inventés par Bellaire lui-même pour faire connaître le parc.

Une légende raconte que Kitch-iti-kipi était un jeune chef de la région. Il a dit à sa petite amie qu « il l » aimait beaucoup plus que les autres jeunes filles aux cheveux noirs dansant près de son wigwam en écorce de bouleau. Elle a affirmé qu « elle voulait le mettre à l » épreuve de l « amour et a exigé, » prouvez-le! »Le test de son dévouement était qu’il devait mettre les voiles dans son canot sur ce lac printanier au fond du marais de conifères., Elle sautait alors d’une branche en surplomb dans un acte de foi. Il devait l’attraper de son canot prouvant son amour. Il a ensuite pris son fragile canot sur les eaux glacées du lac à sa recherche. Finalement, son canot a basculé dans l’effort. Il s’est noyé dans la tentative de satisfaire la vanité de son amour pour cette jeune fille amérindienne. Il s’est avéré qu’elle était de retour dans son village avec d’autres jeunes filles amérindiennes, riant de sa quête frivole. La source a ensuite été nommée en sa mémoire.,

Une autre légende était que les jeunes filles amérindiennes de la région prendraient une goutte de miel sur un morceau d’écorce de bouleau et le tremperaient dans la source. Cela serait alors présenté à un jeune chef qu’ils adoraient pour le rendre vrai pour toujours.

Une autre légende parle des tamarack qui poussent sur les rives de la source. Un petit morceau d’écorce a été broyé dans un mortier et un pilon par un habitant local. Les restes ont ensuite été placés dans les poches vides de l »individu et ont été remplacés par magie par de l » or scintillant à minuit exactement cette nuit-là.,

D’autres légendes amérindiennes parlent de certains parents locaux qui sont venus à la piscine chercher des noms pour leurs fils ou filles nouveau-nés. Ils auraient trouvé des noms comme Satu (chéri), Kakushika (grand œil), Natukoro (belle fleur) et We-shi (petit poisson) dans les sons de l’eau ondulée. D’autres légendes encore disent que les Amérindiens avaient même attribué des pouvoirs de guérison spéciaux aux eaux de source.

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